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Un symposium franco-taïwanais à l’Université de Lorraine de Nancy sur la décarbonation

Dans le cadre du partenariat entre la France et Taïwan en matière de décarbonation industrielle, l’Université de Lorraine vient d’accueillir, fin novembre, un symposium scientifique sur l’énergie et l’industrie verte. Une délégation de onze chercheurs taïwanais était présente.

© Université de Lorraine. Fin novembre, l’Université de Lorraine a accueilli à Nancy un symposium franco-taïwanais scientifique sur l’énergie et l’industrie verte.
© Université de Lorraine. Fin novembre, l’Université de Lorraine a accueilli à Nancy un symposium franco-taïwanais scientifique sur l’énergie et l’industrie verte.

Coopération renforcée entre la France et Taïwan en matière de transition énergétique et de décarbonation industrielle ! Fin novembre (les 24 et 26), l’Université de Lorraine a accueilli un symposium scientifique franco-taïwanais où une délégation de onze chercheurs taïwanais étaient présents.

Depuis 2023, la France et Taïwan ont engagé un partenariat scientifique fondé sur six priorités dont l’énergie et l’industrie verte. En avril 2024, des premières assises de la recherche France-Taïwan se sont déroulées à Taipei où Fabrice Lemoine, professeur à l’Université de Lorraine et codirecteur du programme national de recherche PEPR Spleen dédié à la décarbonation de l’industrie, a été nommé référent scientifique pour la thématique «Énergie et industrie verte».

Après des rencontres à Paris au mois de juin 2024 et lors du premier symposium scientifique entre les deux pays en novembre 2024, un plan d’action bilatéral a été mis en œuvre. Des coopérations scientifiques ont vu le jour notamment autour des matériaux carbonés pour l’énergie ou encore la capture du CO2.

À l’occasion du symposium à Nancy en novembre dernier, plusieurs échanges ont porté sur la conversion de la biomasse en vecteurs énergétiques, la chaîne de valeur du carbone ou encore l’utilisation du sous-sol dans la perspective de l’énergie décarbonée.

«Au-delà de la richesse des échanges scientifiques, les discussions ont permis d’esquisser de futures actions conjointes incluant la mobilité étudiante, la codirection de thèses ainsi que le développement de projets de recherche», assure l’Université de Lorraine.