Le « bilan démographique » de la France, publié par l’Insee au moment de lancer la campagne du recensement pour 2025, montre une baisse de la natalité, le maintien de la mortalité à un niveau élevé et une espérance de vie record. Un tableau qui ressemble à celui de la plupart des pays européens.
Alors que la France navigue en plein brouillard politique depuis le mois de juin, que les dépenses publiques vont nécessairement reculer et que les exportations s’annoncent moins dynamiques, la croissance potentielle pour 2025 repose sur les comportements des consommateurs. Le taux d’épargne reste au plus haut.
Alors que la mobilité domicile-travail est observée sous toutes ses coutures, les déplacements résultant des loisirs sont rarement étudiés. Une enquête montre que chacun dispose en moyenne de 36 heures de temps libre, un temps que l’on préfère passer non loin de chez soi.
Au récent Congrès des maires à Paris, l’acronyme ZAN (Zéro artificialisation nette) a suscité interrogations et hostilités. Les élus locaux, en délivrant des permis de construire, ont pourtant contribué à l’artificialisation du territoire français.