Les entreprises ont tout intérêt à se soucier du bien-être de leurs salariés. Et pour cause : leur désengagement peut leur coûter cher. C’est ce que met en exergue Mozart Consulting dans son étude de l’IBET©, acronyme d’Indice de bien-être au travail. Objectif, permettre aux RH d’adapter leur politique de ressources humaines.
De plus en plus d’actifs plébiscitent le «slashing», une dénomination qui recouvre la pratique du «multiemplois» ou «multiactivités», consistant à avoir plusieurs activités professionnelles, en parallèle. Dans le cadre de ses études sur les évolutions du monde du travail, Anywr a dévoilé une étude qui relève que cette alternative au travail salarié unique évolue en profondeur et attire davantage les cadres.
Adrien Fender, senior manager au sein du cabinet Stimulus, spécialisé en santé psychologique au travail et politiques de qualité de vie au travail (QVT), évoque le bore-out, syndrome d’épuisement professionnel par l’ennui, vécu par les salariés.
Crèche d’entreprise, happyness officer, salles de sport… Les entreprises ont tendance à se focaliser sur les services autour du travail, plutôt que se concentrer sur le bien-être au travail. Quelques conseils pour leur permettre de corriger le tir.