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Mémoire

Valorisation du patrimoine mémoriel

Le Meusien, Jérôme Dumont, a présidé le 9 décembre à la maison de la région Grand Est, à Paris, le conseil d’administration de la mission Patrimoine de la première Guerre Mondiale avec la volonté de poursuivre l’engagement collectif initié en 2025 et qui devrait se renforcer en 2026.

© Mission Patrimoine. Le conseil d’administration de la mission Patrimoine de la première Guerre Mondiale a été présidée en décembre à Paris par le Meusien, Jérôme Dumont.
© Mission Patrimoine. Le conseil d’administration de la mission Patrimoine de la première Guerre Mondiale a été présidée en décembre à Paris par le Meusien, Jérôme Dumont.

Après la signature en février dernier de l’accord-cadre qui a lancé officiellement l’action de la mission Patrimoine pour les 139 sites funéraires et mémoriels de France et de Belgique inscrits au Patrimoine mondial de l’Unesco en 2023, la structuration et la fédération se poursuivent. La preuve avec la participation à la cérémonie nationale du 11 novembre 2025, qui s’est traduite par «un moment fort de recueillement et de transmission où la mission a pleinement joué son rôle : mettre en lumière les sites et rappeler leur importance dans l’histoire nationale», analyse Jérôme Dumont, chef de l'exécutif Meusien qui préside la mission Patrimoine, ajoutant que cette action «marque une étape essentielle pour notre lisibilité et notre engagement».

Actions collectives tournées vers 2026

C’est d’ailleurs l’enjeu du travail partenarial initié. Car si chaque département joue sa carte et met en avant ses sites mémoriels, tous ont bien en tête le célèbre adage : «L’union fait la force». Le dernier conseil d’administration a été l’occasion d’aborder le point budgétaire 2025, le prévisionnel 2026, les recrutements, les projets éditoriaux, la communication et le travail avec les comités départementaux. Les projets devraient prochainement s’affiner et les premières réalisations communes aboutir en 2026. La volonté affichée est de ne pas tomber dans l’oubli et de profiter des retombées économiques, à l’instar de Compostelle. Passer de la mémoire à l’histoire ; c’est le défi que tous doivent relever collectivement.