Selon le site de réservation d’hébergement en ligne, Booking.com, les Hauts-de-France sont la deuxième région la plus accueillante de France. Quatre villes se classent dans le top 20 des villes les plus hospitalières, dont Arras en deuxième position, Saint-Valéry-sur-Somme septième, Wimereux quinzième et Boulogne-sur-Mer dix-neuvième. Ce classement a été établi en fonction du nombre des hébergements récompensés. Les utilisateurs de Booking.com ont la possibilité d’attribuer une note sur 10, les logements ayant une note supérieure ou égale à 8 de la part de cinq usagers reçoivent un award. Soixante-cinq hébergements ont été distingués à Saint-Valéry-sur-Somme, soit 72% de la capacité de la commune.

Spécialisée dans la gestion des nuisibles dans les lieux privés et publics, Connen PCI a été fondée en 1987 par Louis-Michel Connen. L’établissement, implanté à Charmes (Aisne), propose un service de dératisation, de désinsectisation et de désinfection.

François-Xavier Level, le directeur d’Amiens Cluster (l’incubateur-accélérateur des start-ups fondé en 2017), dresse le premier bilan de l’établissement. L’écosystème, crée par Amiens Métropole en collaboration avec la Ville d’Amiens, la CCI Hauts-de-France, le CHU et l’UPJV, a incubé 28 projets, et ce, depuis l’année 2018. Il a également participé au développement de 23 entreprises, mais aussi à la contribution à deux levées de fonds de plus de 700 000 euros pour G+Lyte et de plus de 750 000 euros pour Tesseract. La structure a permis à sept porteurs des projets, en cours de création d’entreprise, de bénéficier de la subvention "Fond régional d’incubation" pour 81 000 euros. Elle compte, par ailleurs, lancer un incubateur-accélérateur privé. Le cluster amiénois, qui regroupe 12 salariés, fédère autour de trois domaines de spécialisation : le numérique, l’e-santé et l’énergie.

Nestlé, le géant suisse de l’alimentation, vient d’annoncer qu’il va cesser l’une des deux activités de son site de production implanté sur la commune d’Itancourt dans l’Aisne. Cette décision, prise suite à la baisse de la production de l’usine, concerne l’activité des bouillons, sauces et potages déshydratés, qui emploie 158 salariés. Les 54 personnes concernées par la perte de leur poste bénéficieront de la pré-retraite ou du congé de fin de carrières. En ce qui concerne le reste de l’effectif, hors les cadres, l’enseigne proposera des offres d’emplois dans un rayon ne dépassant pas les 50 kilomètres. Le site d’Itancourt poursuivra sa deuxième activité dédiée à la production des céréales de petit-déjeuner, qui regroupe 263 salariés.