Alors que les concessions autoroutières arrivent à échéance au cours de la prochaine décennie, les sociétés concessionnaires, le régulateur et l’Etat s’interrogent sur l’avenir du réseau et s’inquiètent d’une décision politique qui décréterait la suppression des péages.
Loin des processus rationalisés de la grande distribution, des acteurs de l’économie sociale proposent des produits alimentaires à prix modérés, grâce à des marges moins élevées et à l’engagement de bénévoles.
La Fédération des transports par autocar peine toujours à recruter des conducteurs. Le secteur s’inquiète aussi des normes environnementales qu’il juge trop strictes. Même si, par définition, un car plein pollue moins que trente voitures individuelles.
Des subventions de l’Etat, mais surtout beaucoup d’ambitions, et des résultats : les aménagements pour le vélo se déploient rapidement, dans les métropoles, les villes moyennes, et même à la campagne. Mais le secteur des transports publics peine à se départir d’une certaine amertume à l’égard de ce succès foudroyant.