La densité et la complémentarité de l’offre de transports caractérisent le schéma directeur du plan de mobilité de la Communauté de communes Sarrebourg Moselle Sud. Sur ce territoire liant 76 communes, le multimodal s’est fait une part de choix. Faisant cohabiter enjeux économiques et écologiques.
Trois intercommunalités du sud mosellan, aux côtés du Parc naturel régional de Lorraine et du Pôle d’équilibre territorial et rural du Pays de Sarrebourg, se sont portées candidates à l’obtention du label réserve de biosphère de l’UNESCO. Cela pourrait avoir de larges retombées internationales pour le territoire en termes de reconnaissance de la qualité de ses milieux naturels. Et donc d’attractivité. Verdict en juin prochain.
Dans sa récente intervention, le maire de Thionville, Pierre Cuny, a rappelé les grands projets qui vont marquer la vie de la localité dans les mois et années à venir, ancrant son attractivité. Également, et c’est sans doute l’une des pierres angulaires de ce projet global, le premier magistrat a lancé sur les fonts baptismaux une réflexion de fonds et un travail de terrain pour replacer le sens démocratique comme vecteur essentiel. À l’heure où la Covid-19 bouscule notre manière de vivre ensemble, exacerbe les passions, nourrit les incompréhensions et les frustrations, la démarche s’avère primordiale pour réduire la fracture démocratique, car elle est bien réelle.
«Entreprises du Grand Est, devenez acteurs pour la biodiversité». C’est la dénomination du dispositif lancé par la Région avec cette ambition : atteindre d’ici 4 ans le nombre de 200 sites industriels engagés dans la protection de la biodiversité et 250 signataires de la Charte des Entreprises engagées pour la nature. Elle s’adresse aux entreprises avec un accompagnement dédié. Candidatures jusqu’au 31 mai. Les entités économiques de Moselle sauront sans doute répondre à l’appel.
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