3 questions à Nicolas Puzin, directeur général de Harry Hope

Le cabinet de recrutement, Harry Hope, sait s’adapter aux codes du marché européen et poursuit son expansion.

3 questions à Nicolas Puzin, directeur général de Harry Hope

Que représente l’Union Européenne pour Harry Hope ?

C’est une formidable opportunité. Le taux d’emploi est très élevé sur le marché du travail. La recherche de candidats compétents est difficile pour les entreprises et nous disposons des outils nécessaires pour aller chercher les personnes déjà en poste. Nous développons des antennes au Luxembourg, en Belgique et prochainement en Espagne et en Allemagne.

Comment vous différenciez-vous de vos homologues anglo-saxons ?

Nous gardons une culture de proximité avec nos collaborateurs, clients et candidats. Nous fonctionnons comme une PME, une société familiale où nos consultants sont beaucoup moins sous pression que dans les grands groupes anglo-saxons. Cela permet d’offrir un accompagnement spécialisé à chacun des candidats.

Le cosmopolitisme culturel de l’UE pose-t-il problème ?

Notre société n’a pas pour but de copier le business model de Harry Hope France dans ses pays d’implantation. En plus de notre service international, nous nous associons à des personnes présentes dans le pays et qui connaissent sa culture. Pour nos candidats, nous faisons attention à leur intégration et à leur adaptation au nouveau marché. Chacun est accompagné individuellement.

Nhälâ MANGOT


© : interview réalisée en partenariat avec RCN et le Medef 54.