Dans un climat où les entreprises doivent faire face à des changements brutaux de codes sociétaux, le coaching professionnel ne semble jamais avoir été aussi plébiscité. Dans les différentes manifestations, l’intervention de coachs professionnels (où s’affichant comme tels) est monnaie courante. Reste qu’aujourd’hui, il apparaît vigilant de faire la part des choses, histoire d’éviter de mauvaises surprises, voire pire.
Les réseaux dits sauvages ! Ces regroupements informels d’entrepreneurs sont apparus au plus fort de la crise sanitaire. Corporatistes, genrés voire à la limite du militantisme, ils semblent commencer à prendre réellement leur place dans l’univers local. Ce genre de communautés d’entrepreneurs apparaît en devenir.
Les mobilités ! Sujet majeur à l’heure actuelle sur lequel l’association NB Tech (Nancy Brabois Technologie) est mobilisée depuis plusieurs années à travers notamment son PDIE (Plan de déplacement inter-entreprise) «permettant de mutualiser les idées et les coûts afin de promouvoir, via des actions concrètes, l’utilisation des modes de transport plus vertueux pour les trajets domicile-travail», explique Didier Jay, vice-président de NBTech en charge du PDIE.
Vecteurs incontournables de l’univers de la sphère entrepreneuriale, les rencontres professionnelles opèrent aujourd’hui une véritable mutation pour coller au mieux aux aspirations des participants. Début juillet, l’Unimev (Union française des métiers de l’événement) tenait son congrès national à Nancy avec une feuille de route version prospectives. Mi-septembre, le réseau Dynabuy organisait Business Envol, une nouvelle approche made in local qui pourrait faire des petits. Des exemples de mutations engagées.