De nombreux sondages montrent que les salariés plébiscitent la généralisation du télétravail. Dès lors, revenir à une organisation du travail sans télétravail semble impossible. Pour attirer et fidéliser les talents, les entreprises devront sans nul doute intégrer et faire valoir le travail à domicile.
Si tous les métiers ou activités économiques ne sont pas éligibles au télétravail, ce type d’organisation est devenu une option possible à l’aide et au maintien de l’activité. Reste que le télétravail est source de profondes inéquités et d’aggravation des risques psychosociaux. La plénière d’ouverture du récent congrès du télétravail a ouvert des pistes de réflexion pour repenser le rapport au travail à l’ère post-Covid.
La conférence de presse digitale "Où et comment travaillerons-nous demain dans les grandes métropoles ?" a dévoilé les résultats d’une enquête internationale sur le travail dans cinq grandes métropoles. Celle-ci met en avant la nécessité de repenser l’expérience de travail dans sa globalité, en intégrant à la fois les bureaux, la maison et les tiers lieux.
L’Apec a profité de son enquête annuelle pour faire un focus sur la situation des jeunes diplômés. L’association, qui a lancé en septembre dernier le plan "Objectif Premier emploi" pour accompagner 50 000 jeunes diplômés, constate de plus grandes difficultés d’insertion sur le marché de l’emploi avec la crise, pour cette population.
 
                                                         
                 
                                                         
                                                         
                