Le préfet des Vosges a décidé de lancer une enquête publique sur le stade d’eaux vives basé sur le site de la ZAC du port d’Épinal.
Selon les résultats d’une étude comparative sur les différents systèmes de procédures collectives en Europe, le dispositif français présenterait de nombreux avantages pour aider les entreprises en difficulté à redémarrer après la crise économique.
En 2020, le nombre de contrats d’apprentissage conclus dans le secteur privé a atteint la barre de 495 000. Soit un bond de 40 % par rapport à 2019. En prenant en compte les embauches réalisées sous ce statut par les employeurs publics, les 500 000 ont été dépassés. Du jamais vu. En Grand Est, ils auront été 37 001 alternants, soit le 5e total national. Entrée dans un âge d’or de l’apprentissage ? Encourageantes, ces données demandent un décryptage plus poussé et pondéré.
Après plus d’un an de pandémie, l’écosystème de la formation inter et intra-entreprise de la région a su, pour la grande majorité de ses acteurs, s’adapter. Au développement contraint et forcé du mode distanciel s’ajoute la nécessité d’un ancrage territorial fort, histoire de répondre aux réels besoins en compétences. Du côté des entreprises, si le volet formation s’affiche comme un levier à actionner pour tenter de préparer la future reprise, grâce notamment à la volonté de démocratisation du CPF (Compte personnel de formation), la formation demeure un investissement immatériel. Face au manque actuel de visibilité, elle est loin d’être une priorité pour bon nombre de structures sauf celles ayant les reins solides ou une culture formation déjà ancrée.