Veolia avec l’association Le Rucher du château de Lunéville

Dans sa démarche en faveur de la biodiversité, l’entreprise Veolia a implanté depuis plusieurs années des ruches au sein de ses sites du Dynapôle de Ludres-Fléville. Histoire de renforcer son action et pérenniser les populations d’abeilles, elle vient de s’associer à l’association du Rucher du château de Lunéville de Richardménil.

Des ruches, c’est bien, des ruches protégées et entretenues c’est mieux ! Sur un espace entre son site de valorisation énergétique, Val’ERgie et son agence de collecte Rimma sur le Dynapôle des Ludres-Fléville, Veolia a mis en place depuis une dizaine d’années des ruches histoire d’afficher son engagement pour la biodiversité.

Reste que ces ruches sont aujourd’hui confrontées à des menaces croissantes, notamment l’arrivée des colonies de frelons asiatiques, mettant en péril l’équilibre de ces écosystèmes.

L’entreprise a décidé de renforcer leur protection en s’appuyant sur l’expertise de l’association du Rucher du château de Lunéville basée à Richardménil.

Suivi sanitaire professionnel 

Début décembre, les deux structures ont signé une convention de partenariat sur le site de Val’ERgie à Ludres.

«Cela va permettre un suivi sanitaire professionnel des colonies, ainsi que la mise en place de toutes les opérations apicoles nécessaires à leur développement optimal. Pour protéger nos abeilles, nous avons souhaité nous appuyer sur l’expertise de professionnels passionnés et de proximité. Ce partenariat offre également à nos collaborateurs volontaires l’opportunité de s’engager concrètement dans la protection des abeilles, de se former à l’apiculture et de contribuer activement à la préservation de cette espèce locale essentielle» assure Luc Petit, directeur régional Grand Est Veolia Recyclage et Valorisation des déchets.

«Ce qui nous a particulièrement séduit dans ce projet collaboratif, c’est l’engagement concret de Veolia à impliquer ses collaborateurs dans nos actions apicoles. Dans le contexte actuel très difficile pour les ruches, nous allons pouvoir assurer un suivi sanitaire professionnel et former les collaborateurs aux bonnes pratiques apicoles», explique Bernard Lhote, président de l’association du Rucher du château de Lunéville.