Actuellement, les entrepreneurs accordent une grande importance aux réseaux professionnels. Pour chaque entrepreneur, booster le développement de son entreprise constitue l’un de ses principaux objectifs. Pour y parvenir, rejoindre un club d’entrepreneurs s’avère un moyen efficace permettant d’identifier des partenariats ou de nouveaux domaines d’expansion.
En mode résilience et adaptation en plein cœur de la crise sanitaire en début d’année, la galaxie des clubs et réseaux régionale tente de renouer avec le monde d’avant. Retour des afterworks, des petits-déjeuners et autres événementiels à un rythme soutenu, voire quasi frénétique. Les structures bien établies doivent aujourd’hui faire face à ce que certains qualifient de «réseaux sauvages». Ces communautés de genre et d’aspiration professionnelle sont apparues post-confinement et perdurent aujourd’hui, renforçant encore plus la complexité de lisibilité de cet univers. À l’heure où la notion d’inter-réseaux pourrait s’afficher comme l’évolution salutaire de cet écosystème, chacun apparaît défendre sa marque tout en tentant de reconquérir sa légitimité.
Une crise sanitaire plus tard et rien ne change ou presque ! Les clubs et réseaux d’entreprises présents sur le territoire régional ont joué leur rôle d’accompagnement, de soutien, d’entraide, de rupture de l’isolement et ce depuis plus d’un an et demi.
Ils sont 16 millions en France et représentent la moitié de la population active de notre pays. Les Digital Natives sont le futur des entreprises. Nés avec le numérique, ils vivent avec un ordinateur depuis l’enfance et ne conçoivent plus leur travail sans écran, nouvelles technologies et data. S’ils bousculent les codes dans les murs de l’entreprise, comment conçoivent-ils un club d’affaires ? Davantage que de générer leurs propres cercles, ils renforcent ceux existant… en y imprimant leurs idéaux.