Quête de sens, développement personnel, management soft, autant de thèmes qui se retrouvent au sein des réunions de clubs entrepreneuriaux. S’ils demeurent plus que légitimes, ils peuvent également ouvrir la porte à des pratiques loin d’être du même ordre. Dans son dernier rapport, paru en avril dernier, la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) met plus qu’en garde !
À l’heure où la santé mentale est la cause n°1 du Gouvernement, les jeunes ne sont pas les seuls à souffrir en silence. Isolés, les chefs d’entreprise sont de plus en plus confrontés à un épuisement professionnel et à une solitude. Pour ne pas sombrer, l’enjeu est de s’entourer… et plus difficile, d’accepter l’aide extérieure, facilitatrice de la nécessaire prise de recul.
La grande fête agricole et du terroir va battre son plein à Luppy samedi et dimanche. Avec en fil rouge la finale départementale de labour.
Un risque accru d’isolement. En zone rurale, les chefs d’entreprise sont certes confrontés à une solitude renforcée et corrélée à une offre moins dense de clubs et réseaux en comparaison aux grands pôles urbains, mais ils bénéficient d’une autre richesse basée sur des relations humaines plus saines et des rapports directs avec leurs pairs et partenaires. Loin de l’image du désert entrepreneurial.