Transports, BTP, aéronautique, industrie ; autant de secteurs d’activité qui peinent à séduire de nouveaux collaborateurs. À l’heure où les difficultés de recrutement pénalisent les entreprises dans leur développement, certains salariés s’engagent et jouent le rôle de relais auprès des plus jeunes et notamment des femmes. Leur mise en réseau s’étend sur le territoire avec la volonté de susciter des vocations.
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L’écosystème des clubs et réseaux entrepreneuriaux n’échappe pas à la déferlante de l’Intelligence artificielle (IA). Entre notion de facilité et bonne utilisation de l’outil, la frontière entre le côté obscur de sa force et sa réelle efficience demeure floue. Une opacité renforcée par le climat général où la notion de collectif bataille face à un individualisme et protectionnisme ambiants. Décryptage avec Christophe Schmitt, titulaire de la Chaire Entreprendre à l’Université de Lorraine et responsable du Peel (Pôle entrepreneuriat étudiant de Lorraine).
Créée en 1976 par son père, Vito Ferrantelli a repris l’entreprise éponyme dans les années 1990 pour en faire une référence régionale sur les activités de peinture et de revêtement pour les particuliers et les industriels. L’entreprise se veut familiale avec le couple Ferrantelli à sa tête, mais également pour ses salariés, qui travaillent en famille au sein de la société.
Briser l’isolement et la solitude du chef d’entreprise ! L’adage est bien connu. En cette période de rentrée où la situation conjoncturelle générale entraîne bon nombre d’interrogations, il s’affiche comme une nécessité quasi vitale. Les clubs et réseaux d’entreprises s’affirment comme une des solutions. Reste à faire partager et surtout répondre à ce besoin de collectif tout en évitant de tomber dans certaines dérives.