argentine

Réformes en Argentine: le débat parlementaire bousculé par la rue

Réformes en Argentine: le débat parlementaire bousculé par la rue

La rue a bousculé le débat parlementaire sur les réformes du président ultralibéral Javier Milei en Argentine, où l'examen de ce projet très controversé reprend vendredi, au lendemain du coup d'éclat des députés d'opposition qui ont momentanément quitté l'hémicycle...

Pour les Argentins sans le peso, un iris pour un peu de cryptomonnaie

Quelques dollars au fond des yeux : dans un pays saoulé d'inflation, à laquelle s’ajoute une nouvelle politique d'austérité, par dizaines de milliers les Argentins prêtent leur iris à un scan biométrique pour la cryptomonnaie Worldcoin. Dans une petite galerie marchande de Buenos Aires, Juan Sosa…

Cent jours de Milei: thérapie choc, social en souffrance, détermination intacte

Avec son style frontal et malgré la résistance du Parlement, il tronçonne des pans entiers de l'Etat avec un coût social patent: 100 jours après son arrivée au pouvoir, le président argentin Javier Milei ne démord pas de sa "révolution" ultralibérale. "Pas de demi-mesures!", "Déficit zéro non négoc…

Argentine: derrière l'austérité, la récession diffuse dans les entreprises

Derrière le redressement budgétaire en Argentine, l'austérité impacte le pouvoir d'achat mais aussi les commandes et l'activité des entreprises. Biscuits, papeterie, pistons... la récession diffuse dans tous les secteurs. Gustavo Avalos caresse amoureusement les machines-emballeuses flambant neuves…

Argentine: près de 2 km d'une "file de la faim" pour défier une ministre

Une ministre du gouvernement ultralibéral du président argentin Javier Milei avait promis de recevoir "un par un" les Argentins ayant faim: plusieurs centaines l'ont prise au mot lundi, formant une file de près de 2 kilomètres devant son ministère. La ministre du "Capital humain" (en charge des Aff…

Argentine: Milei dit au Parlement être prêt "au conflit" pour réformer

Le président ultralibéral argentin Javier Milei s'est dit vendredi, dans son premier discours sur l'Etat de la nation, déterminé à pousser plus avant ses réformes "avec ou sans soutiens" politiques, avertissant au Parlement jusqu'ici rétif qu'il est prêt "au conflit". Dans le même temps, il a appel…