Droit

Crise du COVID-19 : la «to do list» des employeurs

Crise du COVID-19 : la «to do list» des employeurs

Le 30 janvier dernier, l’OMS a qualifié «d’urgence de santé publique de portée internationale» l’épidémie de nouveau coronavirus (Covid-19). Aujourd’hui l’épidémie s’étend sur tout le territoire national et de multiples questions se posent  : comment gérer le coronavirus dans l’entreprise qui poursuit son activité ? L’employeur a-t-il des obligations de prévention ? Comment gérer les absences ou le télétravail des salariés ? etc.

La crise du Covid-19 peut-elle justifier le droit de retrait d’un agent public ?

La crise du Covid-19 peut-elle justifier le droit de retrait d’un agent public ?

Les agents publics sont soumis au devoir d’exercice effectif de leurs fonctions et son corollaire, le devoir d’obéissance hiérarchique. Toutefois, afin de permettre au fonctionnaire de «s’extraire» d’une situation dangereuse, le statut général de la fonction publique prévoit un «droit de retrait» pour les agents publics. Face à l’évolution et à la dangerosité de l’actuelle pandémie, un fonctionnaire serait-il dans son bon droit s’il faisait valoir son droit de retrait ?

Une prime pouvoir d’achat contre intéressement

En pratique, l’employeur souhaitant verser la prime «Macron 2», devra mettre en place un accord d’intéressement à la date de versement de cette prime. Pour faciliter la mise en œuvre de cette condition, les accords d’intéressement conclus entre le 1er janvier et le 30 juin 2020 pourront porter sur…